Vacher-de-Lapouge2 Georges Vacher de Lapouge (1854 - 1936)


Eugéniste
Vacher de Lapouge

Magistrat, puis anthropologue, Georges Vacher de Lapouge milite activement dans les rangs socialistes. Il fonde en 1888 la section de Montpellier du Parti Ouvrier de Jules Guesde. Il se présente comme candidat socialiste aux élections municipales en 1888 et 1892.
C'est un eugéniste. Cela signifie qu'il est soucieux de l'amélioration globale du groupe humain auquel il appartient, par élimination des tares et des handicaps. L'eugénisme est une idéologie de progrès, et il n'est pas étonnant qu'elle ait  pu se mêler au socialisme.

Notre homme est d'abord soucieux d'eugénisme biologique, c'est-à-dire d'amélioration de la race à laquelle il appartient (l'Homo Europœus), par élimination des non-conformes. Il est raciste. De son eugénisme biologique, il déduit un eugénisme social et culturel, en montrant par une abondance de chiffres et de corrélations que les citoyens les meilleurs et les plus actifs sont aussi les mieux "racés".

L'eugénisme biologique est-il un précurseur de l'anti-communautarisme ?

Il existe une parenté de raisonnement entre les deux idéologies :
- Toutes deux se réfèrent à une pureté, à une norme perdue. Pour Vacher de Lapouge, la norme est 
l'Homo Europœus, qui est une construction intellectuelle et qui n'a sans doute jamais existé. Pour l'anti-communautariste, la norme est la démarche citoyenne, qui prend sa source mythique dans la Révolution française. En ce sens, l'anti-communautariste est un eugéniste culturel, partisan du retour à une morale politique perdue. La confrontation avec l'étranger est vécue, non comme un enrichissement, mais comme la cause du déclin.
- Compte tenu du flou du modèle, la particularité des deux idéologies réside non pas tant dans leurs utopies positives que dans leurs rejets. Vacher de Lapouge a de la répulsion pour tout ce qui est éloigné de  son Homo Europœus fantasmé : le métis par rapport à la race pure ; le brachycéphale par rapport au dolichocéphale, le sémite par rapport à l'aryen. De la même façon, l'anti-communautariste se méfie tout ce qui est éloigné du citoyen français fantasmé : Le croyant par rapport au laïc, le bilingue franco-breton par rapport  au monolingue français, le délinquant par rapport  au bon citoyen
- En rejetant des individus, les deux idéologies s'en prennent surtout aux groupes allogènes qu'ils voient comme des communautés hostiles et intentionnellement malfaisantes. Vacher de Lapouge pointe du doigt les Juifs en tant que communauté organisée dans un but de conquête. Les anti-communautaristes pointent du doigt les juifs, les musulmans, les bretons ou les homosexuels. Ceux-ci sont accusés non seulement d'être hors-norme citoyenne, mais de comploter collectivement contre la norme.
Il y a dans les deux cas abus de raisonnements inductifs, biaisés par des nostalgies de pureté perdue et des soupçons de complot.

La parenté entre racisme et anti-communautarisme concerne les schémas de raisonnement, mais elle s'arrête là.
En effet, l'anti-communautarisme s'apparente à un nationalisme laïc ou à un chauvinisme. La référence est clairement la France. Tous les mythes de la nation française sont assumés, et c'est l'intérêt de la France et des Français qui est brandi.
Vacher de Lapouge est très éloigné du nationalisme
. Il fait le constat, dans ses ouvrages, qu'il n'existe pas de race française, et que la France présente un mélange racial qui va en s'amplifiant.  Défenseur de la race européenne, de l'Europœus, notre anthropologue n'a donc aucun attrait pour la nation française. Dans son ouvrage Race et milieu social (téléchargeable sur Gallica.fr), il fait souvent preuve d'un humour glacial quand il parle du destin de la France, assombri par les métissages successifs ("Si l'on peut chercher quelque part un peuple gaulois, ce n'est pas en France mais en Irlande, et par suite de l'émigration irlandaise l'Amérique a plus de sang gaulois que la France" -page 53-).
Vacher de Lapouge fait une démonstration intéressante : le nationalisme et le racisme sont des idéologies qui, même si elle se côtoient superficiellement, se contredisent en profondeur. Le souci de la communauté nationale exclut de créer en interne des oppositions de races qui affaibliraient la nation. Le raciste authentique, pour sa part, veut en finir avec les identités nationales qui rendent confuses le combat des races au niveau mondial.

Notre homme est fermement expansionniste. Sa défense de l’Europœus justifie la notion française d'universalité dans ses prolongements coloniaux, et ouvre la porte à la notion nazie de l’espace vital.  La vision de l'avenir portée par Vacher de Lapouge ressemble à celle de Jules Ferry sur le destin des races supérieures, opposée au nationalisme de Clémenceau.

Ceci nous permet de voir que, si l'anti-communautarisme français s'apparente à un nationalisme, ce n'en est pas vraiment un. Le mélange entre la défense de l'exception française et la prétention à l'universalité en fait un hybride entre Napoléon et Clémenceau. L'anti-communautarisme ne peut rassembler les deux positions que dans le cadre d'un remake fantasmé de guerre mondiale. La désignation d'ennemis communs permet de renouer l'union sacrée et de faire revivre les mythes associés.

En conclusion, Vacher de Lapouge n'est pas véritablement un précurseur de l'anti-communautarisme. Cependant, il utilise des schémas de raisonnement qui valent d'être connus pour mieux comprendre la logique anti-communautariste.


Laissons parler Vacher de Lapouge...

Vacher de Lapouge est antilibéral, partisan d’un État autoritaire qui serait chargé de la sélection eugéniste de la population :

"Le socialisme (...) a un programme d'intérêt général et d'autorité qui est juste l'opposé du système d'incoordination et de pillage chacun pour soi qui caractérise en pratique les démocraties (...). Il n'est possible qu'avec des hommes faits autrement que nous, et ces hommes, la sélection peut les faire"  
(G. Vacher de Lapouge, Les sélections sociales)


"A la formule célèbre qui résume le christianisme laïcisé de la Révolution : Liberté, Egalité, Fraternité, nous répondrons : Déterminisme, Inégalité, Sélection !"
(Georges Vacher de Lapouge. Préface à Ernst Haeckel.  Le Monisme. Lien entre la religion et la science
-profession de foi d'un naturaliste. Traduction française G. Vacher de Lapouge, Paris, Schleicher, 1897)
 
 Le combat de Vacher de Lapouge contre les Juifs diffère du combat des nationalistes :
 
Le seul concurrent dangereux de l'Aryen, dans le présent, c'est le Juif. La question juive ne se pose cependant pas à mes yeux de la même façon qu'à ceux des antijuifs, et de Drumont en particulier, si nous prenons l'affaire du côté français. Pour Drumont et ses amis, l'Aryen c'est l'indigène, le Français de nation, c'est-à-dire en fait le brachycéphale plus ou moins pur ou mélangé d'Europœus, résultat des longues sélections du passé. Par la Révolution le brachycéphale a conquis le pouvoir, et par une évolution démocratique ce pouvoir tend à se concentrer, en théorie, dans les classes inférieures, les plus brachycéphales. L'antisémitisme politique a pour but de conserver l'œuvre de la Révolution, et d'empêcher le passage du pouvoir entre les mains des Juifs, et plus généralement des étrangers. Sur cet antisémitisme politique se greffe l'antisémitisme économique, forme du protectionnisme, et l'antisémitisme religieux, forme du cléricalisme.
 
L'Aryen tel que je l'ai défini est tout autre, c'est l’ Europœus, une race qui a fait la grandeur de la France, et qui est aujourd'hui rare chez nous et presque éteinte. C'est une race, non pas un peuple, et les peuples qui s'y rattachent, Anglais, Hollandais, Américains sont des étrangers, et plutôt des ennemis pour nous. La question telle que je la comprends est donc surtout de savoir qui, des Anglais et des Américains ou des Juifs, possède le plus de chances dans la lutte pour l'existence. Dans ces conditions nous autres Français sommes intéressés dans la question comme le lièvre dont on discute la sauce, et notre sauce à venir peut être juive, sans que le succès définitif des Aryens soit compromis.
 
Le problème ainsi posé comporte une explication qu'il ne faut pas différer. Si Europœus est bien une race zoologique, les Juifs sont plutôt une race ethnographique, et par suite le problème n'est pas identique en théorie à celui de la concurrence d'Europœus et d'Asiaticus, par exemple, ou d'Europœus et du brachycéphale Alpinus. En pratique cela n'a pas une grande portée. Si les Juifs sont une race factice, ils ont été poussés par leur mode d'existence à un degré d'unité psychique égal à celui des races zoologiques les mieux déterminées, et si l'incohérence zoologique se reflète dans la psychologie du Juif, cette instabilité même est une caractéristique de leur psychologie.
(G. Vacher de Lapouge. L'Aryen, son rôle social, Fontemoing, 1899)
 
Comme bien d’autres (Voir Gellion Danglar, Augustin Hamon, Albert Regnard, Gustave Tridon), Vacher de Lapouge considère que l’antisémitisme chrétien est un phénomène mineur par rapport à un antisémitisme laïc, qui est bien plus ancien et plus conforme à la Raison :
   
La nation juive contemporaine est le meilleur exemple de convergence psychique : l'indice varie de 77 en Algérie à 83 en Pologne, les Juifs sont blonds, les Juifs sont bruns, mais partout ils sont les mêmes, arrogants dans le succès, serviles dans le revers, cauteleux, filous au possible, grands amasseurs d'argent, d'une intelligence remarquable, et cependant impuissants à créer. Aussi dans tous les temps ont-ils été odieux, et accablés de persécutions qu'ils ont toujours mises sur le compte de leur religion, mais qu'ils semblent avoir méritées par leur mauvaise foi, leur cupidité et leur esprit de domination. Si l'on réfléchit que l'antisémitisme est bien antérieur au christianisme, qu'il remonte au moins au XVème siècle avant notre ère, il est difficile de voir dans le supplice du Christ la cause unique de la haine dont ils ont été poursuivis par les chrétiens.
(G. Vacher de Lapouge. L'Aryen, son rôle social, Fontemoing, 1899)
  
Pour la conquête du monde par les races supérieures, le Juif est l’ennemi de l’Aryen. Le catholicisme et la démocratie libérale sont les alliés des Juifs. Le seul obstacle sérieux à la domination juive est le socialisme.

Tel qu'il est, avec ses défauts balancés au point de vue de ses destinés futures par de hautes qualités intellectuelles et un vif esprit de race, le Juif apparaît bien comme un concurrent sérieux de l'Aryen dans la conquête du monde. Il ne faut pas cependant se faire d'illusions sur l'étendue de ses chances limitées dans l'espace et le temps. [...]
Le caractère ubiquiste de la nation juive, unique et partout présente, lui permet de se superposer aux multiples nations de race inférieure, et de constituer au-dessus d'elles une puissante unité gouvernante. Les Juifs peuvent devenir pour la moitié de l'Europe ce que sont les Anglais dans l'Inde. La conquête de la France, plus facile en raison de la constitution du pays et de l'absence d'aristocratie organisée, se poursuit en ce moment sous nos yeux. Avoir fait cette conquête sans bruit, sans bataille, sans répandre une goutte de sang, l'avoir faite sans autres armes que les millions des Français et les lois du pays, cet exploit est plus merveilleux que ceux d'Alexandre et de César. [...]
Les peuples catholiques ont si bien conscience de la cause de leur déchéance (…) qu'ils sont disposés à tout souffrir des Juifs. Plutôt que de reprendre le joug de l'Église, ils accepteront la domination nouvelle, si pleine d'inconnu qu'elle soit. [...]
 
A mesure que le régime ploutocratique - si mal appelé démocratique - se développera en Europe, on peut donc s'attendre à voir se développer une puissante féodalité juive, maîtresse du sol, des usines et du capital, profondément séparée du peuple par la religion, la race et l'orgueil. Le seul écueil sur lequel puisse se briser la destinée de la nation juive serait celui du socialisme, mais de longtemps ce danger n'est plus à craindre. Beaucoup de socialistes estiment que le mouvement de concentration des richesses entre les mains des Juifs doit être favorisé par tous les moyens. C'est le procédé le plus sûr et le plus doux de parvenir à la nationalisation des moyens de production. Il suffira de frapper une classe peu nombreuse, étrangère et détestée. Au sein du parti ouvrier j'ai moi-même propagé cette idée. Le raisonnement n'était pas mauvais, mais les Juifs l'ont fait aussi et se gardent. Il n'y a pas de révolution socialiste possible tant que dureront les formidables armées d'aujourd'hui, dont la fonction, il faut bien le dire, est plutôt de maintenir le régime ploutocratique contre les tentatives de révolution intérieure que de défendre chaque pays contre son voisin. Il suffirait donc aux Juifs de se réserver les charges de judicature et les hauts emplois militaires pour maintenir leurs sujets dans la soumission, comme les Français font en Indo-Chine et les Anglais dans l'Inde.
 
Je crois que la domination juive ne sera pas plus douce que le fut celle des Carthaginois. Le sang est au fond le même, la psychologie la même. On voit trop le Juif obséquieux qui demande, on oublie le Juif arrogant qui commande. Il y a chez cet être, à double face, de la femme qui ruse et caresse pour corrompre, du prêtre hautain et dominateur. Si les Juifs fournissent très peu de criminels de sang, et une proportion si forte de voleurs, de faussaires et d'escrocs, ils sont plus vindicatifs que doux, et ce qu'ils craignent c'est le gendarme et le juge. Depuis la Commune, une seule fois le peuple et l'armée se sont trouvés aux prises. C'était à Fourmies, et un Juif fit ouvrir le feu. Je crois que la répression des tentatives des ouvriers, des paysans aussi que l'oppression pousserait à l'émeute, serait souvent terrible, dans un but exemplaire. Un feu en rafale couchant des centaines de cadavres à terre en trente secondes calmerait les esprits très au loin. Et si l'armée nationale, bien que très disciplinée, encadrée de chefs juifs ou dévoués entièrement au régime de la ploutocratie juive, laissait cependant à désirer, il serait aisé de faire faire les plus dures besognes par les régiments jaunes ou noirs, dont la base de recrutement serait assurée par les vastes colonies apportées par la France et l'Allemagne.
(G. Vacher de Lapouge. L'Aryen, son rôle social, Fontemoing, 1899)

Stratégies de la guerre des Juifs contre les Aryens :
   
Est-il probable que les Juifs aillent plus loin, parviennent à se substituer à la population indigène éliminée par la misère ou autrement ? Je ne le crois pas. Le Juif est de nature incapable de travail productif. Il est courtier, spéculateur, il n'est pas ouvrier, pas agriculteur. Organisé pour s'emparer habilement du fruit du travail d'autrui, le Juif ne peut exister sans une population bien plus nombreuse d'inférieurs qui sèment, récoltent, tissent et construisent pour lui. S'il n'est pas la première aristocratie du monde, il est certainement la mieux adaptée à la vie parasitaire. Prédateur, rien que prédateur, il est un bourgeois, il ne peut, ne veut être qu'un bourgeois.
Le Juif, obéissant à ses aptitudes prodigieuses de spéculateur et d'escroc, traite toute affaire politique comme une spéculation ou une escroquerie. Il ne voit que le résultat immédiat, que l'avantage direct, sans s'inquiéter des répercussions. C'est le parfait opportuniste, jamais il ne se doute que l'avenir est fils du présent, il ne vit que dans et pour le présent. C'est pourquoi sa direction politique n'est pas seulement immorale, mais encore et surtout destructive [...]
Les Aryens n'ont donc pas à se préoccuper de la concurrence des Juifs dans la direction des peuples. Quand même le rêve politique de l'ambition juive viendrait à se réaliser, chose possible en somme dans cette période de l'histoire où l'intérêt économique est seul pris en considération, le désordre et l'anarchie mettraient promptement à la discrétion des peuples guerriers de race blonde les États qui auraient accepté la domination sémitique. Si grandes que soient les forces des peuples soumis à sa direction, le Juif se chargera lui-même de les désorganiser, de les détruire, et de faire partie belle à ses adversaires.
(G. Vacher de Lapouge. L'Aryen, son rôle social, Fontemoing, 1899)
 
Le déclin français et la rupture des liens sociaux : la faute aux groupes multiraciaux et multiculturels.
( raisonnement inductif commun à Vacher de Lapouge et à l'anti-communautarisme )


Le caractère des Français contemporains, leur manière de voir les questions politiques, religieuses, morales et même littéraires, diffèrent beaucoup de ce qui existait dans le passé. La différence s'accuse d'autant plus que la démocratisation des moeurs et des institutions substitue de plus en plus l'influence des classes inférieures à celle des classes supérieures. Elle se montre jusque dans les plus petits détails. Il suffit de comparer la littérature de café-concert, vraie littérature de nègre, avec la littérature populaire du Moyen-Age, pour se rendre compte de l'intensité de la régression intellectuelle.
L'humeur agressive du Français d'autrefois a disparu, remplacée par des dispositions pacifiques exagérées jusqu'à l'amour de la paix à tout prix. L'esprit d'indépendance individuelle et d'opposition politique, fécond en rébellions et en guerres civiles, s'est évanoui, laissant à sa place une servilité complète. La très curieuse tentative de destruction du christianisme à laquelle nous assistons ne provoque que des récriminations platoniques dans le pays qui a vu la Ligue et les guerres de religion.
Le Français historique est bien éteint. A sa place, nous trouvons un peuple nouveau, de mentalité différente. C'est la première fois dans l'histoire qu'un peuple brachycéphale arrive à l'autonomie. L'avenir seul apprendra si cette expérience intéressante se terminera par l'écroulement définitif de la France, ou si elle donnera la formule des sociétés à venir. Ce n'est pas nous qui le saurons.

(G. Vacher de Lapouge. Race et milieu social. Ed Rivière, Paris 1909, page  63)

Chez le métis humain, le besoin moral de perpétuer sa race n'existe pas ou n'existe guère. Il ne sent que l'aiguillon matériel du désir, qu'il peut satisfaire sans engendrer. Il se produit dans son esprit une dissociation entre le besoin de reproduction qui disparaît et le besoin de jouir, qui subsiste. La fécondation n'est plus le but, elle est l'accident. Le métis ne sent pas la charge d'une race à perpétuer : il sent que chez lui se heurtent les hérédités de plusieurs. Ce n'est pas, en effet, une race qu'il aurait à perpétuer, c'est deux, c'est plusieurs, c'est-à-dire l'impossible en soi. Par là s'expliquent l'égoïsme social, et la rupture des liens sociaux. Dans mon mémoire de 1886 sur la dépopulation j'écrivais : "Cette résorption dans le moi de tous les sentiments de race, de nation, de famille, substitue au peuple une simple collection d'individus juxtaposés (...)"
(G. Vacher de Lapouge. Race et milieu social. Ed Rivière, Paris 1909, page  93)


Sources principales :
L’antisémitisme de gauche au XIXème siècle.
Marc Crapez. Ed Berg 2002.
Les ouvrages de Vacher de Lapouge, Les Sélections sociales (1889) et  Race et milieu social  (téléchargeables sur Gallica.fr)


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