GUSTAVE TRIDON (1841 - 1871) |
Depuis
la fixation des nomades hébreux sur la terre de Chanaan, des
relations s'étaient ouvertes entre le Judée et le
puissant empire d'Assyrie. Là
dominaient les races aryennes et couschites, bien supérieures
aux Sémites par le caractère, les moeurs et les
lumières. |
La
législation nous arrêtera davantage. Son influence a
été plus grande et surtout plus funeste, car elle a
créé le judaïsme, père fort déplaisant
de deux fils détestables : l'islamisme et le le christianisme. |
Les Sémites, c'est l'ombre dans le tableau de la civilisation, le mauvais génie de la terre. Tous leurs cadeaux sont des pestes. Combattre l'esprit et les idées sémitiques est la tâche de la race indo-aryenne. |
Le
Sémite présente quelque chose de raide, de dur, de
concentré. Un mur semble s'interposer entre lui et les autres
nations, au point de vue moral toutefois, car il ne s'est jamais fait
faute d'entrer en contact avec les Gentils dans
le but de les exploiter. (...) Allah, Moloch ou Jehovah sont la
divinisation de cet orgueil fanatique et peu éclairé des
races sémitiques. Pour la première fois s'accouplent l'humilité la plus arrogante et la plus ambitieuse abjection. Le Sémite s'identifie avec son dieu et le comble de tous les dons. (...) Pour le grandir davantage, il se dégrade jusqu'au bas de l'échelle ; mais ce dieu aura l'empire du monde et règnera sur tous les peuples dans la personne de son serviteur, le Sémite. |
Au
contact du souffle aryen, la pensée sémitique s'est
agrandie, l'humanité parle par la voix de ces hommes. L'influence aryenne est passée là. |
Le
Sémite n'a jamais pu s'élever à la
compréhension de la nature (...). Le Sémite fermé
à l'intuition n'a jamais pris la peine d'étudier, ni
compris la science. |
La morale des Juifs diffère de celle des Aryens.
Une résultante forcée des fonctions organiques, faisceau
où viennent aboutir les besoins et les passions du citoyen,
limités par les besoins et les passions de l'humanité,
voilà la morale. Athènes lui soumet les dieux. En
Palestine au contraire, en Arabie, à Tyr, à Sidon,
à Mabug, à Babylone même, la morale n'est une
condition essentielle ni de sainteté, ni de divinité.
Jehovah est un être profondément méchant et
satanique. (...) Triste spectacle. Peuples arides, secs, féroces. L'intolérance est le legs sémitique à notre monde.(...) La race sémitique représente le côté négatif du genre humain (...). |
Au Pessah, on immolait des hommes, on mangeait leur chair, on buvait leur sang dans une communion de crime et d'horreur et c'est ce qui rendait cette fête si chère au peuple juif. |
La
tâche de l'esprit moderne est donc de balayer jusqu'à la dernière
parcelle l'esprit sémitique et de revenir à la destinée antique de
notre race (...). |