Contreculture, site de survie en environnement citoyen

Aux armes, citoyens !
Les grands hommes français	Nous nous repentons	Nous implorons
Aragon (Louis), poète libre-penseur Bara (Joseph), enfant martyr libre-penseur Barère (Bertrand), orateur libre-penseur Bonaparte (Napoléon), empereur libre-penseur Boussel (Pierre), maître à penser des libres-penseurs Chevènement, citoyen de gauche libre-penseur Claudel (Paul), poète libre-penseur CGT, organisateur de grèves libre-penseur Clémenceau, briseur de grèves libre-penseur Combes (Emile), ex-séminariste libre-penseur De Gaulle (Charles), militaire libre-penseur Dupont-Aignan (Nicolas), gaulliste libre-penseur Ferry (Jules), ministre libre-penseur France (Anatole), écrivain libre-penseur Gambetta (Léon), aérostier libre-penseur Hallyday (Johnny), chanteur national libre-penseur Horner (Yvette), accordéoniste libre-penseuse Hugo (Victor), écrivain libre-penseur Jeanne d’Arc, pucelle libre-penseuse Jaurès (Jean), socialiste libre-penseur Larousse, lexicographe libre-penseur Michelet (Jules), historien libre-penseur Pasqua (Charles), Corse libre penseur Le Pen (Jean Marie), Breton libre-penseur Robespierre, révolutionnaire libre-penseur Sade (Marquis de), érotomane libre-penseur Saint-Just, ange exterminateur libre-penseur Soldat inconnu, mort libre-penseur Tocqueville (Alexis de), démocrate libre-penseur Voltaire, philosophe libre-penseur	La Libre Pensée nous l'a demandé ; nous le faisons. "Nous avouons nos diffamations et nos injures envers la Libre Pensée et les libres-penseurs, en particulier Pierre Boussel. Nous réfutons toutes nos diffamations." Nous implorons la peine de mort pour nous, pauvres vermines lubriques, suppôts de l'impérialisme. Nous sommes paranoïaques, schizophrènes, perclus de troubles obsessionnels compulsifs. La peau de notre main criminelle est plus visqueuse que celle d'un serpent. La salive de nos baisers a un pH supérieur à celui de la soude caustique. Notre regard est torve, nous puons, nous sommes répugnants. Nous ne méritons pas de vivre.	Pierre Boussel qui êtes aux cieux laïcs et indivisibles, que votre nom soit lambertifié, que votre règne arrive, que votre volonté soit faite à Paris comme en Province, Donnez-nous la directive du Comité Central de chaque jour. Pardonnez-nous notre bilinguisme français- breton, comme nous pardonnons aussi aux bilingues communautaristes français-arabe qui veulent rentrer dans leur pays. Ne nous abandonnez point à la tentation de la diversité, mais délivrez-nous du séparatisme Ainsi soit-il !
	Je confesse à la Libre-Pensée, je reconnais devant mes frères, que j'ai péché en pensée, en parole, par action et par omission (en se frappant la poitrine) oui, j'ai vraiment péché. C'est pourquoi je supplie le bienheureux Pierre Boussel, les libres-penseurs et tous les laïcs, et vous aussi, mes frères, de prier pour moi la République une et indivisible.	Libre Pensée Française, j'ai un très grand regret de vous avoir offensé parce que vous êtes infiniment bonne, infiniment aimable, et que la dissidence vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre laïque grâce de ne plus vous offenser et de faire pénitence.

Législation française, et donc universelle
Code Napoléon	Constitution de 1958	Statuts de la Libre-Pensée

Notre champ de vision laïc, social et indivisible
Les départements	L'État	Dossier Bretagne
Les départements sont le fleuron de notre organisation administrative pour une raison évidente : ils datent de la Révolution française. Ils sont donc républicains et sacrés. Vive les départements ! Malheureusement, les foutriquets de l'Anti-France ont dégradé insidieusement le nom de ces vénérables institutions. Nous demandons que ces vocables contre-révolutionnaires soient bannis à jamais. Mort aux faux-amis et aux traîtres-mots ! Commençons par la Loire Atlantique. Les glorieux révolutionnaires l'avaient appelé Loire-Inférieure, et cette appellation a été honteusement trahie quand le nom est devenu Loire-Atlantique, pour complaire aux Atlantistes de tout poil. De plus les nationalistes bretons ne cessent de clamer que Nantes est en Bretagne. Alors nous disons : Pas de Bretagne ! Et, pour suivre l'exemple des révolutionnaires de 1789 qui ont nommé un département du nord le "Pas-de- Calais", nous voulons que ce département s'appelle désormais Pas-de-Bretagne. Ensuite le Morbihan. C'est un mot qui vient d'une langue qui n'a jamais existé. Les habitants de ce départements sont d'indécrottables chouans. Ils ont même érigé une statue de Jean Paul II dans une de leurs villes, sans demander la permission à Paris. Ce département mérite, et nous le revendiquons, de ne plus s'appeler Morbihan, mais Ploukistan. Enfin les Côtes d'Armor. Là encore, l'Anti-France a introduit un mot provenant d'une langue qui n'existe pas. Il faut que ces paysans éleveurs de cochons sachent que c'est Paris qui décide. Aussi, nous demandons que le département, à l'instar de la glorieuse Saône-et-Loire ou de l'Ile-et-Vilaine, s'appelle désormais département des Champs-et-Lisier. Vive les départements du Pas-de-Bretagne, du Ploukistan et des Champs-et-Lisier ! A bas l'Anti-France !	Nous adhérons à ce que nous a dit une libre-penseuse nantaise : "Nous ne reconnaisssons qu'un seul Etat légitime, c'est la République démocratique laïque sociale une et indivisible. Elle n'existe actuelle- ment pas en réalité, mais nous essayons de défendre ce qu'il en reste." C'est cet État généreux qui procure aux Bretons les timbres postes, les banques nationalisées, la dette publique, les formulaires administratifs, les préfets, les fêtes nationales, les élections présidentielles. En échange, les Bretons ne fournissent que de quoi nourrir les Français, plus quelques nouvelles technologies. Malgré cette disproportion, il en est chez nous qui veulent s'approprier le privilège de décider, alors qu'il existe des énarques parisiens qui ont été formés pour celà, et dont c'est le rude travail ! Nous ne faisons plus partie de ces traîtres à la République une et indivisible. Nous nous sommes repentis. Nous sommes soulagés. Vive le soulagement républicain ! Vive La Libre-Pensée une et indivisible ! Tout dans l'Etat, rien hors de l'Etat, rien contre l'Etat !	Elaboré par le Mouvement d'Etudes et de Réflexion sur les Différentes Identités Communautaristes. Les Bonnets Rouges Bretons étaient de sales nazis. Ils se sont révoltés contre Louis XIV. Or Louis XIV, c'était l'État de droit ("l'État, c'est moi"). Nazis ! sales nazis ! Il n'existe pas d'histoire de Bretagne. A celà deux arguments majeurs : d'abord parce que la Bretagne n'a jamais été indépendante ; ensuite parce que l'indépendance de la Bretagne n'a duré que jusqu'en 1532, date du Traité d'Union. Les Bretons sont comme les cochons. Or il n'existe pas de Bretons ; il n'existe que des Français finistériens, morbihanais, cotedarmo- ricains et ile-et-vilains. Donc les cochons n'existent pas. La langue bretonne est une langue nazie. En effet ce n'est pas une langue, mais un patois ; et encore ce patois n'existe pas. Ensuite cette langue a été parlée par les nazis, alors que les démocrates parlent le français. D'un site ami : "Les citoyens attachés à ce que la réalité de la collaboration avec les nazis ne soit pas occultée, les républicains et les laïques soucieux de maintenir l'universalité de l'Ecole publique ne peuvent donc que s'interroger sur le sens véritable et la portée de l'accord Lang-Diwan." Les nationalistes bretons sont tous des terroristes. Et je leur dis solennellement : il n'existe pas de nation bretonne, donc pas de nationalistes, et ils ne font peur à personne.

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